Mon nom c’est Juliette,

Un jour, voyant la prospérité de son entreprise, je demandais à mon ami Mickael, non sans une pointe d’humour, sa formule magique pour faire de si bonnes affaires.

Ne répondant pas à mon humour, c’est avec sérieux qu’il me répondit : « Tu veux vraiment savoir mon secret ? ».

Quelque peu intrigué, j’opinais de la tête. Le plus naturellement du monde, il me dit : « Et bien, je suis allé prendre conseil auprès d’un marabout et voilà le résultat« .

Sur le coup, je pensais que c’était une plaisanterie. Puis, il me parla du MAÎTRE KOKOUVI m’assura de sa crédibilité au vu de ses affaires prospères et me conseilla même de le consulter si l’envie de jouir d’une naisance matérielle me tentait.

Me confiant les coordonnées du MAÎTRE KOKOUVI , il m’apprit qu’il réside en Afrique. La consultation se faisait donc à distance.

Jouant au loto depuis des années, je réalisais que si la chancetardait à venir, pourquoi ne pas l’aider à se produire. J’ai donc pris contact avec le GRAND MAÎTRE KOKOUVI et lui exposait mon cas.

Il me demanda alors si je conservais mes tickets perdants car dans le cas où j’ai pu en conserver un, celui-ci lui serait utile pour « travailler ». Par bonheur, un ticket de loto se trouvaitencore dans l’un de mes tiroirs et le lui expédia aussitôt.

Le MAÎTRE KOKOUVI me demanda également ma date de naissance et mon lieu d’habitation afin, disait-il, qu’il puisse consulter ses génies. N’ayant pas eu de ses nouvelles au bout de quelques jours, je commençais à m’inquiéter.

Mais sans que je m’y attende, je reçus une lettre de la part du Maître KOKOUVI me disant que je pouvais rejouer au loto  et que quelques jours seulement plu-tard le gros lot était à moi. Impatient, je ne ratais pas les tirages à la télévision et un soir, mes numéros étaient gagnants.

Je ne trouve pas les mots magique pour exprimer les sentiments qui s’emparaient de moi: entre la surprise, l’immense joie et la fébrilité que je ressentais, je n’arrivais pas

à croire que je venais de gagner le million d’euros au loto. Je vérifiais encore et encore les chiffres étalés sur l’écran, mais bien vrai je venais de Ajouter un commentaire | Lien permanent